1867, l’année de tous les Rapports. Les lettres et les sciences à la fin du Second Empire

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Chapitre III du prologue à "1867, L’année de tous les Rapports" : Les auteurs des Rapports sur les progrès des lettres et des sciences en Francefichier
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Chapitre II de la deuxième partie de "1867, L’année de tous les Rapports", Les Rapports sur les sciences mathématiques et physiques : Les Rapports sur les sciences physiquesfichier
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Chapitre II de l'épilogue de "1867, L’année de tous les Rapports" : Les Rapports et la question nationale : Les retards de la science française et les moyens de les comblerfichier
Titre1867, l’année de tous les Rapports. Les lettres et les sciences à la fin du Second Empire
Type de publicationLivre
TypeOuvrage scientifique
Année2009
LangueFrançais
Nombre de pages351
Nombre de volumes1
AuteurBarbin, Evelyne
1, 2
, Godet, Jean-Luc , Stenger, Gerhardt
PaysFrance
EditeurEditions du Temps
VillePornic
ISBN978-2842744946
Mots-clés1867, exposition universelle, sciences en France
Résumé en français

En juillet 1865, le ministre de l’Instruction publique Victor Duruy propose, au Conseil des ministres, « de faire l’histoire des progrès de toutes les sciences depuis vingt ans », dans le cadre de la préparation de l’Exposition universelle de 1867. Vers la fin octobre, il adresse à Napoléon III un rapport dans lequel il demande à l’empereur d’« autoriser le ministère de l’Instruction publique à être exposant » lors de la prochaine Exposition universelle à Paris. Une fois ce rapport approuvé par Napoléon III, il informe, en décembre, le commissaire général de la future Exposition universelle, le conseiller d’État Frédéric Le Play, que son ministère déposera une série de Rapports « sur les principales œuvres produites par l’esprit français ».
De cette initiative sortiront 29 Rapports, plus ou moins importants en volume, écrits par des auteurs plus ou moins connus aujourd’hui. Ce corpus considérable a été sorti de l’oubli et étudié pendant trois ans par un groupe interdisciplinaire composé d’une quinzaine de chercheurs (historiens, historiens des sciences, de la philosophie et de la littérature). Il fournit un excellent état des préoccupations concernant les sciences et les lettres à la veille de la guerre de 1870. Les résultats de l’enquête permettent au lecteur d’aujourd’hui d’évaluer le patrimoine d’un XIXe siècle dont nous sommes les héritiers, aussi bien en ce qui concerne les conceptions relatives aux lettres, aux sciences et aux techniques, que pour les relations entre la recherche, l’université et la société.

URL de la noticehttp://okina.univ-angers.fr/publications/ua8057
DOI10.13140/2.1.4801.6323
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http://www.sudoc.fr/138780986